La Marelle aux canards

Vendredi, jour du poisson !

Oui, on s'amuse bien quand on fait des photos chez nos voisins des Halles !

Entre le homard breton et l'araignée, la petite valise poisson déjà aperçue par ici...

À la lettre #1

Pour aller vers la rentrée en douceur, quelques posts à suivre sur les alphabets, les abécédaires et la typographie.

Pour commencer une vidéo simple et efficace :

Alphabet from zka11 on Vimeo.

Chariot #1

Première balade en ville pour notre nouveau chariot : le chariot fleurs ! La prochaine fois, on sortira son petit frère le chariot cerise ;-)

Pour faire sensation comme nous sur le marché, il faudra attendre cet automne ! Patience !

Ps : merci à L'île aux fruits des Halles de la criée pour son prêt de poireau.

Bijoux #2

Après les pendentifs "Mon précieux", les boucles d'oreilles "Boucles d'or ou mes jolies dormeuses" reviennent avec de nouveaux dessins.

Mlle Héloïse / Sophie Adde / Peggy Nille / Mijn Schatje / Nathalie Lété / Adolie Day / Chloé Rémiat

Chic ! Chic ! Chic (fin)

 

Pour finir en beauté cette chic série, voici les colliers assortis aux boucles d'oreilles !

C'est pas complétement chic, ça !

  

Tapisserie !

© Mlle Héloïse

Si les protos se multiplient, c'est que le salon Maison & Objet approche ! Et par quoi faut-il commencer pour qu'on ait l'impression d'être comme à la maison sur notre nouveau stand ? Une nouvelle tapisserie pardi ! Cette fois-ci, c'est Juliette, notre chroniqueuse préférée qui s'y colle et pose sous l'objectif... Pfiou ! Si avec ça, on n'a pas la pêche ;-)

Chic ! Chic ! Chic (suite)

Ah le moins que l'on puisse dire, c'est que vous ne manquez pas d'imagination... ! Les petites boites sont l'écrin des "Bijoux Chics" dessinés par Mlle Héloïse et ils seront disponibles à la rentrée. Voici un aperçu des boucles d'oreilles, elles se déclinent en 4 ambiances colorées et sont de formes différentes...

 

Alors, ça vous plait ?

Ernest Pignon Ernest

Si cet été, vos pas vous mènent jusqu'à La Rochelle. Courrez jusqu'à l'Espace Encan pour découvrir la première rétrospective d'Ernest Pignon Ernest, considéré comme le précurseur du "street art". Plus de 400 oeuvres y sont sont exposées et retracent sa carrière.

"J'ai déjà fait des expositions, mais je n'ai jamais fait ça. Il y a des dessins sur bientôt cinquante ans, il y a même des dessins que j'ai faits en 1962 au service militaire en Algérie", a expliqué Ernest Pignon-Ernest (source AFP). L'exposition met en effet en exergue tout le processus nécessaire à la création des saisissantes sérigraphies collées sur les murs de Brest à Naples, de Paris à Ramallah. Le résultat est impressionnant et les témoignages en vidéos de l'artiste engagé très émouvants.

"Chaque espace d'exposition permet de voir les premières esquisses, les premières ébauches, les dessins un peu plus aboutis, les différents dessins définitifs, la réalisation sur site puis enfin les photographies témoignages de cette intervention", explique le commissaire de l'exposition, Henri Jobbé-Duval.

"Les gens croient toujours qu'on dessine comme Léonard de Vinci, en fait c'est toujours une bagarre, c'est long, moi je rate toujours, je recommence j'ai voulu montrer cet aspect. Les gens qui découvrent mes travaux dans les rues ne connaissent pas tout ce processus. L'exposition c'est vraiment un exposé de la démarche".

"Parcours éphémères - Ernest Pignon Ernest"
Espace Encan, La Rochelle, jusqu'au 22 août.

http://www.pignon-ernest.com/

Chic ! Chic ! Chic ! (bis)

Au départ, un dessin, une idée, du papier et des ciseaux...

Mais que cachent ces petites boites ?

Vider Paris !

© Nicolas Moulin

Ah Paris au mois d'août... ! Seule période où on pourrait croire que la ville nous appartient. Nicolas Moulin, photographe a réalisé en 2001 une série de photos troublantes de la ville.

VIDERPARIS est, dans sa forme originelle, une installation comprenant une video-projection de 50 images fixes en mode aléatoire et une bande son de 2 minutes 27 secondes diffusée en boucle, fruit d’une collaboration avec le musicien électronique Jimmy T. Les 50 images ont été réalisées à partir de photographies de rues de Paris retouchées sur ordinateur. Toute trace de vie y a été effacée : végétaux, mobilier urbain, piétons, voitures, etc. Les rez-de-chaussée et premier étage de tous les immeubles ont été bouchés par des plaques de béton.

Le spectateur erre dans une ville qui a perdu toute identité, un labyrinthe. Il n’y a plus de géographie réelle : les rues, les artères n’ont plus de nom, la carte est fausse. On se heurte contre des immeubles, on revient sur ces pas, on hésite à des carrefours. Il n’y a pas d’issue. (source Ithsme Edition)