Vous êtes quelques-uns à ne pas comprendre pourquoi le cahier A4 s'appelle Le désespoir du peintre ou l'angoisse de la page blanche, alors nous allons vous expliquer sa petite histoire.
Lorsque nous avons commencé à travailler sur ce projet, Pascale voulait un beau cahier de dessin. Comme chaque produit estampillé La Marelle a un petit nom, nous avons réfléchi... Quand on brainstorme à La marelle, ça chauffe dûr, ça fuse dans tous les sens : cahier, pages blanches, dessin, peintre... jusqu'à ce que Pascale repense aux petites fleurs du jardin de sa grand-mère que celle-ci appelait le désespoir du peintre - Désespoir du peintre car ces petites fleurs sont un calvaire à reproduire - Autre désespoir du peintre, l'angoisse de la page blanche et voilà comment nous avons trouvé un nom plus poétique pour ce beau cahier que le carthésien "cahier A4".
Certains d'entre-vous s'en servent de livres d'or, mais libre à vous d'y gribouiller ou d'y coucher vos mémoires... A La Marelle, nous voulions juste éditer un beau cahier, un bel objet !